1 couple sur 7 est infertile et dans 22% des cas des mesures simples ne suffiront pas.

Le recours à l’Assistance Médicale à la Procréation est alors le seul recours. Néanmoins, il est important de garder en mémoire qu’actuellement seuls 15% des embryons transférés au décours d’une fécondation in vitro aboutiront à une naissance.

Innover pour répondre aux problématiques de la PMA

Nos projets d’innovation ont pour objectif :

  • d’augmenter les taux d’implantations embryonnaires ;
  • rendre les traitements plus efficaces et moins lourds pour les couples.

La procréation médicalement assistée est une médecine qui a maintenant plus de 35 ans et qui n’a cessé de progresser. De manière très logique, la plupart des progrès se sont concentrés sur l’embryon : améliorer les taux de fécondation ou ses conditions de culture, améliorer la qualité embryonnaire et repérer le meilleur embryon à transférer.

Le partenariat avec le laboratoire Drouot

Notre partenariat avec le laboratoire Drouot nous permet d’accompagner les progrès en PMA :

  • De nouveaux incubateurs individuels permettent de moins perturber les embryons pendant leur développement préimplantatoire
  • Un système de grossissement du spermatozoïde permet de mieux choisir le meilleur spermatozoïde à micro injecter dans l’ovocyte (IMSI)
  • Un projet de congélation individuel de spermatozoïdes est en cours pour éviter à certains patients infertiles le recours à la biopsie testiculaire

        Nos pistes de recherche :

        Au plan clinique, nous développons une approche innovante, jusqu’à présent jamais envisagée en reproduction humaine bien quelle semble évidente. Il faut que la patiente et le co-parent acceptent son embryon pour que celui-ci s’implante. Nous proposons donc depuis plus de 10 ans d’explorer l’état de réceptivité utérine chez les femmes en difficultés.

        Le principe est que tout embryon est forcément génétiquement différent de sa mère (du fait des gènes du père). Il existe un mécanisme immunologique de tolérance immunitaire pour permettre que la mère l’accepte. Une réaction immunitaire unique permet en effet ce début de la vie.

        Nous proposons donc aux patientes ayant eu des échecs répétés et inexpliqués d’implantation embryonnaire, d’explorer en dehors de toute tentative de fécondation in vitro cette réaction immunitaire afin de comprendre le mécanisme immunitaire conduisant à ces échecs répétés.